Le divorce sanctionne un échec mais cette situation n’est pas insolite: statistiquement, il y a presque un mariage sur deux qui ne perdure pas et qui finit par un divorce.
- Nous avons consulté un conseiller conjugal mais la situation ne s’améliore pas et tend même à se péjorer. Il vaut mieux divorcer à l’amiable, le cas échéant avec l'aide d'un médiateur.
- Nous ne nous aimons plus. Mieux vaut divorcer à l’amiable plutôt que de laisser pourrir une situation sans espoir raisonnable d’amélioration ou de réconciliation. Nous vivons comme des étrangers l’un envers l’autre. Avant que la situation ne se dégrade encore et que nous finissions par nous haïr, tirons-en les conclusions qui s’imposent.
- « Rester pour les enfants » n’est pas une bonne solution : ils ressentent les dissentiments et les désaccords. Ils en souffrent. Mieux vaut prévoir, ensemble, les modalités d’un divorce à l’amiable (lesquelles peuvent notamment prévoir l’autorité parentale conjointe et/ou un droit de garde partagé), plutôt que de leur imposer une situation qui les fait souffrir.
- Les cris, les pleurs, les violences verbales et/ou physiques à répétition ne sont pas tolérables. Il faut constater que la situation s’est beaucoup trop péjorée et il faut en tirer les conclusions rapidement.
- J’ai besoin de recouvrer mon indépendance.
- Pour moi, j’ai déjà fait le deuil de ce mariage et j’ai développé une relation stable avec une autre personne.
- Les différences culturelles, sociales, religieuses ou philosophiques sont la source régulière de disputes de plus en plus fréquentes et difficiles. Mon moral et/ou mon équilibre psychologique s’en ressentent sérieusement. Je ne vais pas attendre de devoir prendre des antidépresseurs pour agir.
- Les difficultés régulières et constantes à la maison se ressentent sur mon travail et ma vie professionnelle. Je ne peux pas risquer de devoir arrêter de travailler ou d’être licencié(e). Ma carrière professionnelle est handicapée par la problématique personnelle.
- Mon conjoint ne me respecte plus, se moque volontiers de moi, de mon physique, m’ignore ou me traite comme un serviteur.
- Notre vie sexuelle est aussi insatisfaisante qu’épisodique. Nous n’avons plus d’attention l’un envers l’autre.