- Il y a d’autres solutions possibles à une crise – même profonde – d’un couple. Notre couple mérite de les explorer.
- Un conseiller conjugal peut nous assister pour mieux comprendre les raisons de la crise et proposer une voie de sortie.
- Un médiateur spécialisé en problèmes familiaux peut nous aider à trouver nous-mêmes, ensemble, une solution à la crise.
- Plutôt que de divorcer, nous pouvons nous limiter à une séparation de corps.
- Plutôt que de divorcer ou de demander une séparation de corps, nous pouvons requérir et obtenir d’un tribunal des « mesures protectrices de l’union conjugale », soit un jugement qui décide des mesures urgentes visant à aplanir les tensions et ayant pour but de permettre de sauver – à terme – notre mariage. Ces mesures peuvent être convenues entre nous, en tout ou partie et être reprises dans un jugement. Les mesures urgentes peuvent notamment porter sur l’attribution du domicile conjugal, les droits de visite et la garde des enfants, les contributions financières.
- Divorcer n’est jamais une simple formalité ni une partie de plaisir. C’est le constat d’un échec, psychologiquement et émotionnellement bien difficile à vivre.
- Matériellement et financièrement, le divorce entraîne souvent un train de vie réduit. On vit moins bien seul qu’à deux et c’est parmi les époux / épouses divorcé(e)s qu’on retrouve une forte proportion des personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté.
- Je vais devoir reprendre une activité professionnelle.
- Mes convictions religieuses s’opposent à un divorce.
- Je suis étranger en Suisse et je risque de perdre mon permis de séjour si je divorce.